Cycle lunaire

  

 

 

 

 

                             Les CatastrophesLes Catastrophes

 

        Les évènements passés, en cours ou annoncés,

         

        A part les cataclysmes naturels qui ont pour origine l’activité naturelle de la terre et 

        de son déplacement orbital, les catastrophes que nous subissons sont accentuées

        ou crées par l’activité humaine.

 

    La Violance des orages qui détruisent tout :

      les récoltes, les outils de travail, les lieux de vie

       les inondations, les torrents, provoquent  aussi la mort !

 

     Ni l'Etat, ni les partis politiques, ne veulent rechercher ce qui les poduit,

               ce qui pourrait en réduire la puissance. 

  Notre comportement vis-à-vis de l’environnement, par les prélèvements de tout ordre, les pollutions que nous

  développons, ont une répercussion directe sur l’activité géothermique de la terre et sur le climat..

 

  Notre activité, notre concentration en population, développent des pollutions que nous ne maîtrisons pas suffisamment

  parce que notre mode de vie est conditionnée à udes pratiques financières financières parfois douteuses.

 

  Les crises financières, les pollutions, les épidémies, ne sont que les effets apparents d'une grande arnaque mondiale.

 

  Le capitalisme mondial, à la recherche permanente de ses gains financiers, crée une fuite en avant pour les

  augmenter à tout prix, et sur tout, même sur du vent ou sur les rumeurs du vent.

 

  Les délocalisations, le jeu truqué des bourses, les traders, conduisent à des désastres économiques que les états

  (surtout les grands élus) sont obligés de compenser en puisant dans la caisse et nous en font payer la facture.

 

   Tout est bon pour créer de l’argent  sur un fond de peur médiatisée des catastrophes qu'ils organisent:

 

   L’Agriculture intensive avec pour conséquences les lots de poisons sous la forme de pesticide, d’ OGM,

    Elle se maintient et ne fonctionne que grâce à des aides financières données par l'état ou par l'Europe

 

   La malnutrition (malbouffe) et la dégradation de la nourriture, des conditions de vie et d’hygiène.

 

   Les épidémies découlent d’une déstabilisation généralisée des équilibres vitaux :

 

          Les organismes sont soumis à une nutrition dégradée et polluée par la nocivité des produits utilisés par la culture

      intensive, les sociétés de transformation, de préparation ou de diffusion des aliments.

 

     Les épidémies ne se répandent que sur les populations en manque de nourriture saine, d'eau propre, et d'hygiène,

     ce qui est aggravé par une médication inadaptée et par les ratages organisés dans la recherche médicale ou

     pharmaceutique.

 

   Les atteintes à l’environnement  sont la conséquence des restrictions organisées sur les coûts industriels,

   immobiliers ou commerciaux et par une utilisation massive des énergie fossiles.

 

   L'usage inconsidéré de l'eau, les puisages, les pompages dans les cours d'eau, se font sans retenue et ne servent qu'à

   irriguer des cultures qui seraient impossibles sans cette prédation.

 

   l'agriculture intensive, même raisonnée rend le sols compacts, imperméables, ce qui bloque le cycle de leau qui ne

   pénétrant plus dans les sols, se retrouvent, par évaporation, dans les nuages pour se déverser en pluies plus abondantes,

   plus destructrices (inondations, torrents de boues, etc).

 

   La spéculation boursière où les meilleurs gains se font sur la tricherie, les rumeurs, la complaisance ou la corruption,

   créent des conflits d’intérêt avec des conséquences directes sur l’activité humaine.

 

      Ce tableau apocalyptique est une réalité qui n’est ni figée, ni inéluctable.

 

       Que ce soit en matière de Santé, de nutrition, de qualité de la vie, d’agriculture ou

       d’environnement, Il y a de vraies solutions que nous pouvons mettre en œuvre.

 

   La plupart de ces solutions ont été, découvertes au siècle dernier, mais elles ont été cachées pour maintenir les

   populations sous le joug des lobbies, des financiers, des industriels, des société de scientifiques qui bénéficient de

   cet état de fait.

 

   Ces sciences ou ces applications bénéfiques permettent une remise en ordre des activités en éliminant les causes

   essentielles des catastrophes issues de nos activités terrestres et des pollutions créées ou développées par ces

   activités.

 

   Nos sociétés civiles sont codifiées et la représentation des populations sont le fait d’élections qui sont faussées par le

   financement des partis politiques qui organisent les campagnes électives.

 

   Les partis sont à la merci des monopoles financiers qui leur imposent des décisions, des lois, favorisant l’expansion

   anarchique des activités mercantiles et l’empirisme mondial de l’activité financière.

 

   Dans ces conditions, la seule façon de rétablir les conditions d’une réelle amélioration des conditions de vie et de santé

   des populations, la diminution des pollutions et des catastrophes qui en découlent, ne peut provenir que des

   populations, de chacune des personnes de ces populations par de simples  gestes.

                                                                                                                                                

     Nous proposons de  véritables solutions pour éviter les catastrophes.

 

    On peut, on doit  :

 

    1 ) Limiter les cataclysmes naturels :

             En étudiant le fonctionnement de la terre, le climat, le rôle des éléments naturels,.modifier notre

            comportement qui ne se limite pas qu'aux excès du  CO².

 

   2 ) Diminuer les catastrophes environnementales.

             En supprimant les pollutions d’origine fossile ou électromagnétiques.

             En réorganisant la façon de produire les aliments par une agriculture naturelle.

             En changeant notre comportement.

 

   3 ) Enrayer les épidémies, les pandémies, et autres infections

            En définissant ce qu’est l’état de Santé, son mode de contamination ou de sauvegarde.

            Par une alimentation et une eau énergétiquement saines. 

            Par notre façon de consommer, le choix de la qualité, de la proximité, de la saison.

            Par notre hygiène de vie, par des gestes simples mais efficaces.

            par l'emploi des remèdes qui ont prouvé leur efficacité (ils sont principalement dans votre cuisine).

 

    4)  Réformer notre système d’échange commercial.

            Favoriser l’acquisition et le développement des produits naturels.

            Rechercher les productions de saison et de proximité.

            Développer les échanges directs, les trocs existentiels.

 

     5 ) Obliger nos élus à respecter nos choix.

           On n’a rien à attendre d’un système politique, étatique qui est soumis aux monopoles financiers ou

            industriels, ni de ceux qui en dépendent.

 

           C’est par les petits gestes répétés que nous les amènerons à changer, à acquérir les bons gestes.

 

   Rien n’est inéluctable, si on s’y prend bien, on peut tout changer !

 

      Il faut tout mettre à plat, tout reprendre à zéro, retrouver les sciences, les comparer, les appliquer, pour

      tout reconstruire.

 

      Alors on s’apercevra que des solutions plus conformes avec notre réalité sont possibles,

      simples, faciles à mettre en œuvre par de simples gestes.

 

      Il faut comprendre que c’est celui qui paie qui détient le pouvoir.

       Même si l’on a peu, on peut toujours faire des choix, éliminer ce qui ne convient pas.

 

      Il n’est pas nécessaire de détenir une fortune pour vivre mieux par la mise en commun des

      offres et des moyens

 

      Il suffit de penser et d’agir autrement et se doter  des moyens pour y parvenir.

 

      L’association PANSERNATURE a effectué les recherches et propose des solutions

     qui peuvent engager le processus de la restauration des bonnes conditions de la vie,

 

       Elle agit pour les mettre en œuvre et  propose de vous associer à ses actions en adhérant.

 

  Les Catastrophes Naturelles.

 

  C’est en étudiant le fonctionnement de notre planète dans le système solaire que nous allons comprendre

  comment celle-ci se retrouve soumises à de constantes pressions qui modifient la surface du sol, l’évolution

  de cette surface et les forces climatiques qu’elle subit.

 

 

  La terre qui se déplace sur son orbite solaire à près

  de 28 000 km/h, elle est freinée par la densité de

  l'espace interplanétaire, une forme de plasma qui est

  composé d’Hélium, d’hydrogène et de forces

  électromagnétiques diverses.

 

  Le champ magnétique terrestre est créé par l’énergie

  du magma en fusion qui est au centre de la Terre.

 

   Il représente des milliers de kilomètres de diamètre

   de diamètre.

 

   La pression du plasma agit sur le champ magnétique

   qui lui, à son tout agit sur l’atmosphère qui entoure la

   Terre.

 

   L’atmosphère s’élève à environ 80 km au dessus du sol terrestre.

  

   L’atmosphère se trouve ainsi comprimée et plaque sur le sol

   terrestre tout ce qui a une densité supérieure celle de l’air.

 

   La terre effectue une rotation journalière sur elle-même, et comme

   sa surface n’est pas uniforme, les montagnes, les édifices, créent

   des turbulences entre la vitesse du sol et celle de l’atmosphère.

     (origine des vents et des climats).

      

   Ces turbulences représentent les vents qui vont de l’ouest  vers

   l’est, leur puissance et leur vitesse dépendent des conditions de la

   température ou de la chaleur, rencontrées.

 

   Il y a une légère différence de parallélisme entre l’axe de rotation  

   journalière   de la terre et celui de l’axe magnétique                                      Champ Magnétique Terrestre

   ( courants telluriques) déterminant l’axe entre le pôle nord et le pôle sud,

   qui est  occasionné par les actions des champs magnétiques solaires, lunaires.

 

  Les rayonnements électromagnétiques envoyés par le soleil, (rayons Alfa, bêta, gamma, ultra violets et X)

  sont absorbés ou renvoyés par les surfaces, les êtres vivants, selon la longueur d’onde et le taux vibratoire   

  (fréquence) qui les caractérisent.

 

  L’atmosphère est un milieu composé par de l’azote, de l’oxygène, des gaz rares et de la vapeur d’eau, mais

  aussi des polluants agricoles ou industriels et des fumées dues au chauffage, des gaz d’échappement que

  la  vapeur d’eau concentre.

 

  L’air est plus dense que l’espace et de ce fait la pression exercée sur l’atmosphère est plus forte,  elle se

  répercute sur les sols, les cours d’eau et les mers, ce qui provoque l’entrée de l’air et de l’eau dans les sols,

  le mouvement des marées et celui de la croûte terrestre.

 

  Si on oublie que la vapeur d’eau condensée forme les nuages et que ce sont les nuages qui constituent

   l’essentiel de la densité de l’air et qui concentrent les polluants, on passe à côté du problème.

 

  Une simple modification de la densité de l’air par un apport de vapeur d’eau ou de polluants a des consé-

  quences directes sur la pression atmosphérique, cela agit sur les êtres vivants, le climat.

 

  Les Catastrophes Climatiques.

 

   Si le réchauffement climatique est le responsable de la fonte des neiges, des glaciers et des glaces

   polaires,  il a pour origine un changement de la densité de l’air

 

   Si on oublie que c’est a vapeur d’eau condensée qui forme les nuages et que ce sont les nuages qui

   constituent l’essentiel de la densité de l’air, et qui concentre les polluants, on passe à côté du problème.

 

   La solution qui n’est axée que sur la production de CO², d ’Ozone, d’ammoniaque ou de gaz 

   fluorocarbonés, ne pourra répondre à l’augmentation de la densité de l’air dans l’atmosphère.

 

   Le mécanisme de la chaleur terrestre est axée sur l’activité des photons, ces particules de lumière qui

   émettent des parcelles de chaleur par l’action des rayons solaires sur la vapeur d’eau qui sort du sol ou des

   étendues d’eau, parce que les rayons sont plus concentrés, réfléchis.

 

   Le même phénomène se produit à la frontière de l’atmosphère au contact de la couche d’ozone, par l’action

   des rayons (hélium) sur de l’oxygène de l’ozone et sur le dioxyde d’azote ce qui se traduit par une

   consommation de l’oxyde de carbone (effet de serre).

 

   Il y a mutation de particules d’électrons, ce qui provoque de brèves étincelles que l’on appelle des photons.

   La multitude simultanée de la production des photons donne la lumière du jour.

 

      On observe que le jour, le soleil darde ses rayons sur les surfaces (sols, murs, eaux) :

        Si les surfaces sont claires il y a réverbération.

        Si les surfaces sont foncées, il y a absorption.

 

      Les rayons solaires an agissant sur les surfaces émettent aussi des photons qui sont aussi à l’origine de

      la chaleur par la réaction nucléaires sur les particule d’eau, ce qui ne peut se produire au contact de la

      couche d’ozone parce qu’à la distance de 80 km du sol il n’y a pas  d’eau, les nuages ne dépassent pas

      10 km.

 

      La chaleur produite est d’autant plus intense qu’il n’y a pas de vent et que le sol est poreux  parce qu’en

      chauffant le sol, la chaleur attire l’eau qui s’évapore et refroidit le sol à sa sortie.

      Si le sol n’a plus d’eau, sa surface durcit et craquelle.

 

      C’est le même processus qui se produit quand on reste trop longtemps au soleil, notre peau subit une

      brûlure par la peau qui durcit provoquant une cloque parce que l’eau ne peut plus sortir.

 

      Si nous avons une pilosité importante, comme le fait l’herbe de la prairie, ou un vêtement, une masse d’air

      circule sous les poils (les herbes, dans le vêtement), et l’air ainsi emprisonnée sert de tampon qui diminue

      l’effet calorique.  C’est le principe de l’action d’un calorifuge.

 

      Ce phénomène de l’évaporation de l’eau est accentué par la forme de culture intensive qui est la cause du

      durcissement des sols (compactage) par la perte de la vie biologique du sol.

 

      L’eau ne pénétrant plus dans les sols, elle est immédiatement vaporisée, ce qui oblige les agriculteurs

      conventionnels à arroser en permanence, même quand il pleut, parce que les plantes cultivées n’ont plus

      un sol perméable, capable de recréer ses réserves d’eau ( humus, terre végétale, nappes phréatiques).

 

      On épuise ainsi les nappes souterraines, les cours d’eau, les lacs, et on concentre ainsi dans

      l’atmosphère une  vapeur d'eau supplémentaire additionnée des polluants agricoles.

 

      Les espaces verts sont, en majorité, entretenus de la même façon, cela s’ajoute aux surfaces bâties, aux

      voies terrestre de communication où l’eau ne rentre plus dans les sols.

 

      L’eau concentrée dans les nuages, densifie l’air, ce qui renforce les vents et provoque des pluies plus

      nourries, plus soudaines, des tempêtes, des ouragans de plus en plus violents ...

 

       Les Catastrophes sanitaires.

 

           La Santé des population est la deuxième préoccupation, après l’alimentation !

 

   Nous sommes confronté à une accentuations des maladies de tous ordres.

   Il y a même des maladies que l’on pensait disparues, qui reviennent en force.

   Il y a toujours des maladies qui résistent et se renforcent ( cancers, cardiaques, leucémies sida, )

 

   Régulièrement on nous prévient, on nous alarme pour des épidémies et des pandémies qui vont venir

   demain nous assaillir en provoquant parmi nous des effets désastreux, inéluctables…

 

   Cela est sûr et certains, d'après eux, il n’y aura pas d’échappatoires, cela provoquera un absentéisme

   colossal, une absence des personnels aux postes névralgiques, une perte économique….

 

   Il faut très vite se protéger en se faisant vacciner envers et contre tout !

   Il faut modifier ses habitudes, mieux se laver, s’isoler des autres,…

 

   Tout le monde politique, médical, les scientifiques, montent au créneau, les interventions médiatiques sont

   quotidiennes : On va tous y passer !

 

   Il faut avant tout  garder sa raison, il faut d’abord réfléchir avant d’agir.

 

    Depuis plus d’une centaine d’années, la presse fait état des recherches importantes que le monde médical 

    et pharmaceutique effectue pour trouver les bons remèdes aux maux qui nous atteignent, et des sommes

    astronomiques sont dépensées (que nous payons avec nos impôts).

 

    Les maladies les plus graves sont en constante évolution et si des progrès ont lieu, ils ne sont, pour la

    majorité, que provisoires, on parle de rémission plus ou moins temporaires.

 

    On a réduit les effets, ôté ou remplacé les parties détruites, mais on a aussi attaqué des parties saines,

    sans pour autant avoir recherché la cause qui a produit les maladies.

 

    Il y a des petites maladies qui nous parviennent, dites orphelines, parce qu’elles ne touche qu’un nombre

    restreint de malades et que cela coûterait trop de faire des recherches appropriées.

 

    Il y a de plus en plus de maladies dites « nosocomiales » parce qu’elles sont contractées en

    milieu médical, ( théoriquement protégé), avec des germes très actifs et contre qui on a très peu

    de remèdes.

 

    La première réflexion est qu’on s’est peut être trompé d’adversaire !

   

    Le système de contagion défini par Pasteur et développé depuis par tout le corps médical et

    scientifique est-il le bon ?

 

    Le principe pasteurien défini que maladie est crée par un germe infectieux contenu dans l’air,

    l’eau ou introduit dans l’organisme et qu’il y a contagion si un certain nombre de personnes sont

    en contact avec le malade ou dans les conditions ou le malade à contracté la maladie.

 

    La  vient d’un germe dénaturé qu’il faut rechercher et découvrir le remède approprié qui va

    détruire ce germe (Le meilleur remède sont l’oxygène et ses oxydes).

 

    Un chercheur français Antoine Béchamp, contemporain de Pasteur s’est opposé à la théorie

    Pasteurienne parce qu’il  a découvert que la maladie n’est qu’une manifestation du déséquilibre

    interne du terrain (le milieu) où se développe la maladie.

 

    C’est en s’occupant du malade et en rétablissant l’équilibre interne de son organisme que l’on

    peut agir efficacement sur ce qui a été à l’origine de la maladie.

 

    Il faut donc rechercher comment on peut être efficace.

 

        « Que ton aliment soit ton meilleur médicament » Hippocrate.

 

     1°  Puisque la mauvaise nourriture associée à l’emploi de l’eau trop minéralisée, alcaline et oxydée

           sont le premier facteur des contagions.

 

           La maladie vient d’abord du déséquilibre interne du terrain sur lequel elle naît et elle se

           développe.

 

         Quelles que soient le type de maladie, elle a une origine, une cause, elle ne peut se développer que

         si le terrain sur le quel elle a pris naissance est dégradé, affaibli.

 

         Il ne peut y avoir d’épidémie que si dans la population des personnes sont soumises aux mêmes types

         de vie et de nutrition, de pollutions chimiques ou électromagnétiques, qui dégradent leur terrain.

 

        C’est en rétablissant la qualité du terrain et les défenses immunitaires que nous réduirons les

         risques de contamination et de développement des maladies, par :

 

           - Une agriculture ou un jardinage par les procédés naturels, qui respecte la vie des sols, le cycle

             de l’eau ( et sa pureté),  est la solution pour produire des aliments énergétiquement sains.

 

           - Une culture naturelle prévient les risques de maladie sur des plantes et la venue des insectes,

             ce qui supprime exclut l’emploi des engrais chimique et les pesticides ou OGM.

 

           - la Consommation  des aliments naturels, avec des produits frais, de saison, élevés ou  produits à

             proximité, de façon biologique est un gage d’équilibre pour maintenir ou rétablir notre bon état de

             santé.

 

           - C’est ainsi supprimer les pollutions agricoles, qui représentent  30% des pollutions, dont nous

              souffrons et les risques de dégénérescences des utilisateurs et des consommateurs, qui sont liés à

              l’emploi des pesticides.

 

           - C'est aussi remplacer les énergies polluantes qui sont toutes d'origine fossiles (charbon, pétrole,

               nucléaire) par l' Energie Electrique Libre, telle que Nikola Tesla l'a imaginée et réalisée.

 

   Nous sommes obligés de repenser un nouveau mode de distribution

     qui garantisse la liberté des producteur naturels et les aliments sains

 

   Rétablir un fonctionnement normal de la disponibilité et de la distribution alimentaire

   par les échanges directs et solidaires en instituant la qualité énergétique des

   aliments.

      C'est faire dépendre le prix d'une véritable qualité, non des coûts inutiles générés par un système

       libertaire et anarchique qui prélève sans raison des sommes indues.

 

      Remettre la convivialité entre les peuples est une nécessité absolue et en finir avec :

        - ces républiques dites bananières,

        - les despotes de tout poil, les financiers véreux,

        - les parasites de la distribution et de la transformation qui déforment les aliments.

 

     C'est à nous, les consommateurs, les associations non gouvernementales, d'agir pour que cela devienne

     une réalité qui commence à se faire, avec les Amaps, Jardins de cocagne, le  SEL, ...

 

     C'est avec notre sueur, notre salaire, notre retraite que nous avons le pouvoir d'agir, en faisant le choix de

     nos achats, de nos décisions pour notre quiétude, notre vitalité, notre santé, au quotidien et pour que nos

     enfants ne puissent nous reprocher de ne pas l'avoir fait.

          

                                                                 

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                                                                                                                                                     Dernière modification : 31 décembre 2020