Cycle lunaire

  

 

 

 

 

         Le Cycle du Carbone

 

                                           Un cycle méconnu

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Ce cycle du carbone  est celui de l’air que les êtres vivants absorbent, une forme gazeuse qui

   est produite par les émanations du sol, la respiration des animaux et des plantes, en inspirant l’air.

   Ils captent un élément, en expirant l’air, ils en rejettent un autre.

 

    Le poumon de l'animal (humain compris) aspire l'air, un composé

    de 78% d'azote, 21% d'oxygène, 0,9 % d’argon, 0,05 % de gaz Carbonique et de 0,1 % d’eau sous la

    forme de vapeur :

 

     - Il retient  quatre fois plus d'oxygène qu'il n'en éjecte.

     

     - Il rejette aussi quatre fois plus de gaz carbonique qu'il n'en a utilisé.

 

    - En apparence, l’azote ne semble pas jouer un rôle significatif.

 

    - Le taux excessif d’humidité de l’air peut affecter la respiration.

 

   La plante absorbe quatre fois plus de gaz carbonique qu'elle n'en émet et rejette 4 fois plus d'oxygène en

    excès, issus de la nutrition transformatrice au niveau racinaire.

 

   Le fonctionnement naturel du sol emmagasine, par la pression atmosphérique, les pluies, autant d'air

   que d'eau, qui servent à l'élaboration nutritive des plantes.

 

   L'azote et le carbone ont des cycles différents qui interviennent dans le cycle vital, celui de la nutrition, ils

   se  complètent pour animer,  avec l'eau, le bal des minéraux qui construisent toutes les formes de vie

   dans la limite de leur équilibre.

 

 

   Pendant le jour, la chlorophylle capte l’énergie lumineuse émise par les photons, ce qui lui permet

   d’emmagasiner une  grande partie du gaz carbonique (CO²), contenu dans l’air.

 

   Pour mémoire, les photons sont des particules de lumière qui se produisent des milliards de fois par

   seconde  par arrachage des électrons qui passent d’une orbite à l’autre, exactement comme le fait une

   étincelle qui se crée lors de la coupure du courant par un interrupteur, ou quand on quitte un vêtement le

   soir.

 

   Les rayons solaires qui se heurtent à la surface de l’eau, du sol et des feuilles, produisent des photons, de

   la chaleur (plus on s'élève en hauteur, plus la chaleur diminue).

 

   Sous leur action, la chlorophylle sépare le carbone de l’oxygène, ce qui transforme la sève brute en sève 

   élaborée, une fonction énergétique découverte par Fritz Alexander Popp.

 

   La sève élaborée contient les hydrates de carbone qui vont redescendre vers les racines pour former

   l’azote organique au contact de l’eau contenue dans l’humus.

 

   Une fonction suffisante pour faire pousser un arbre ou une plante dont les feuilles, éventuellement les fruits,

   vont retomber au sol,  se composter, se transformer en humus,  pour fermer le cycle de la nutrition.

 

   La synthèse  Carbone , Bactéries, Oxygène formant 2 Azotes, ne peut pas suffire, dès l’instant que l’on

   prélève les fruits, la récolte,  et  d’autant plus si on force la plante à produire davantage.

 

   Il faut donc apporter au sol un excès de carbone composté ou à composter, ce qui a été défini par

   sir Howard dans son livre :  « Le testament agricole »,  paru en 1935, réédité en 2010 :

 

   A composter,   Dans le rapport Carbone sur Azote =  33  ( 100 Kg de paille pour 9 à 10 kg d’excréments.)

 

   Dès qu'il est composté,  on obtient un rapport  Carbone sur Azote = 12 à 15.

 

   Ce qui peut être dynamisé par une eau saine et des apports  catalytiques bactériens ( 501, Germes

   fermentés)

 

   L’apport au sol doit être complété, pas remplacé. Si la nourriture n’est pas suffisante, on appauvrira le sol.

 

  Ce que ne disent pas les agronomes, c'est que sans le carbone, il ne peut y avoir de vie, parce que

  c'est l'un des constituants des sucres ( hydrates de carbone) contenus dans la sève des plantes, qui par

  combustion (transformation en azote) permet de nourrir les cellules végétales.

 

  Dans un compostage, ce qui permet au compost de monter en température, c'est la combustion du

  carbone. plus la combustion dure, plus le carbone est consommé, moins il en reste pour que les bactéries

  le transforme en azote (dans le sol).

 

  Celui qui a le mieux explique ce phénomène est le Physicien  Corentin Louis Kervran :

      "les transmutations à faible énergie".  Les transmutations

 

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                                                                                                                                                     Dernière modification : 31 décembre 2020