Cycle lunaire

  

 

 

 

 

                             Echanges  et  Troc

 

  Il faut créer des échanges dans le sens qui libère la rentabilité interne des activités  

  spécifiques à l'amélioration de l'alimentation

 

  Le système de négoce actuel est basé sur les échanges commerciaux dans le cadre  d'un environnement

  de capitalisation à outrance qui prend à la gorge les  artisans, les petites entreprises, les fermes familiales.

 

  Même les associations, les services publics, ne peuvent plus avoir d'activité si ces activités peuvent être

  assurées par une société privée par action ou à capitalisation.

 

  L'économie solidaire  a été récupérée par les grands groupes commerciaux.

 

  Notre association n'a pas échappé à la règle, il a fallu prouver que nos activités associatives n'étaient pas

  assurées par des sociétés pour obtenir l'agrément d'intérêt général !

 

  Si l'on veut exister encore, agir pour assurer nos activités, nous devons trouver d'autres moyens que les

  systèmes mis en place par les marchés boursiers.

 

  La vente directe des récoltes du producteur au consommateur doit devenir la règle absolue !

 

  A la ferme, sur les marchés, par les AMAP, dans des magasins communs ou dans un local avec des

  distributeurs automatiques.

 

  Il est nécessaire de vérifier la qualité des aliments et interdire l'achat des aliments pollués par de

  mauvaises pratiques.

 

  Les réseaux Selidaires  : il y en a dans presque toutes les grandes villes :

 

   " Le SEL" propose un système de troc communautaire où l'on peut échanger un ou des produits contre  

    un  ou des autres pour une valeur pré-établie.

 

  Privilégier la monnaie locale : Chaque ville peut frapper sa monnaie.

 

  La revue "Age de Faire" a développé ce principe ancestral.

 

  Il est anormal que le système bancaire, dans sa quasi totalité,  s'approprie des droits éhontés sur notre

  argent en prélevant des intérêts iniques, alors qu'ils se servent de la trésorerie qui est sur nos compte au

  jour le jour, chaque jour, pour la jouer en bourse et gagner des sommes folles.

 

  Le Cas médiatisé d'un hacker de la société Générale, ou elle a encouragé son travail de surenchère de       

  l'argent fictif, et l'a fait condamné au pilori judiciaire pour une perte, qu'elle refuse d'encaisser parce que 

  cela joue sur son image de marque, est l'exemple type des tripatouillages bancaires.

 

  Rappelons nous que notre état, avec nos impôts, dans la même période a soutenu les pertes des banques

  françaises, en leur avançant, à taux presque nul, des sommes colossales, sommes qui ont été

  remboursées pratiquement dans l'année.

 

  Le clou de la désinvolture bancaire est ce groupe de banquiers qui a été fêter  ces avances en allant

  déjeuner dans l'un des plus grands restaurants de Monaco.

 

  Si nous voulons les banquiers arrêtent de moquer de nous, alors que leurs pertes éventuelles sont garanties

  par le FMI par des prêts à 1% et que ces mêmes banques refinancent les besoins des états par des prêts

  allant de 3 % à 6 %, selon la cote de confiance boursière, établie par une succursale de la Banque

  Américaine Morgan., alors il n'y aps de scrupule à agir en limitant les fonds que nous déposons chez eux.

 

  Echanger un service contre un bien ou le contraire est la seule arme que nous disposons.

 

  Acheter ou échanger directement chez l'artisan local, l'éleveur, maraîcher, le viticulteur, est un acte citoyen

  majeur, déterminant, celui qui garantira les emplois, la survie des villages, celui des commerce de

  proximité, face à la délocalisation est entreprises, la désorganisation des états, qui sont organisés par les

  prédateurs de la Bourse.

 

  Agir pour sauvegarder notre mode de vie, notre Santé.

 

  Agir c'est aussi conserver le tissu social avec les emplois, les petits commerce de proximité, les  

  associations, alors que les marchés détruisent ce tissu par les délocalisations.

 

  Que nous restera-t-il quand il n'y aura plus personne pour travailler en France, dans nos usines, avec notre

  technologie, notre savoir faire, si ce n'est que d'être pire que les esclaves du temps passé, obligés à

  mendier leur subsistance, comme le font les immigrés, chassés de leur pays, et qui envahissent nos rues,

  et qui, ainsi, participent à notre insécurité.

 

  Organiser nos choix est une nécessité impérative, parce qu'elle garantit notre liberté, la fiabilité des

  aliments en s'assurant de leur qualité, par le contact direct, avec le producteur local.

 

  C'est a seule façon de réduire les aliments dégénérés par  de la grande distribution qui utilisent la chimie

  pour remplacer les les aliments naturels, avec des ingrédients plus nocifs les uns que les autres, sans

  aucun contrôle. 

 

  C'est éviter que les terres, les mers, soient surexploitées, empoisonnées par les pesticides ou autres

  poisons qui minent notre santé.

 

  Agir c'est aussi faire connaître toutes les solutions qui peuvent nous aider à vivre mieux, plus sainement

  en utilisant ce qui est là, près de nous, gratuitement, dans la nature qui nous entoure, ou que nous pouvons

  produire dans nos jardins, sur notre balcon, pour s'alimenter, pour prévenir les aléas immédiats de la Santé.

 

  C'est l'un des buts que notre association PANSERNATURE (R) s'est donné.

 

      On n'a rien fait quand on n'a pas tout bien fait

 

                                                                                            Page non contractuelle

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                                                                                      Association PANSERNATURE

                                                                                                             Loi 1901  N° : W37 200 4440           

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                                                                                                                                                     Dernière modification : 31 décembre 2020