Le Suivi  Agraire

                               Le travail du conseiller Technique en Agriculture

  Une activité essentielle apportée aux agriculteurs pour les aider à mieux entreprendre et à réussir leurs productions,

   dans un univers respectueux de la nature et de l'environnement.

   Rien n'est impossible à celui qui veut entreprendre pour réussir, parce que la révélation des connaissances cachées

   et leurs applications, si elle paraissent parfois s'opposer aux traditions, sont des sources de création et les clés de la

   réussite.

   Promouvoir des méthodes agraires qui ont fait leurs preuves, avec l'équilibre des sols, les apports compostés, le

   semis direct, la protection des sols par des cultures adjointes ou "dérobées", c'est l'avenir de l'agriculture.

   La lutte contre les adventices, celle contre les maladies ou contre les nuisibles s'en trouve étonnement réduite.

   Le traitement préventif des semences par les poisons chimiques, les OGM, devient inutile, supprimant ainsi les risques

   inutiles, puisque la plante qui pousse dans un milieu équilibré devient résistante aux maladies, donc aux nuisibles.

  Le rôle du conseiller technique devient relativement simple, il est celui d'apporter le conseil le plus

  judicieux pour acquérir les semences ou les plants, de mettre en oeuvre la méthode de culture et d'accompagner

  l'agriculteur suivant sa récolte, de répondre aux interrogations, de faire éventuellement des mesures de contrôle, afin

  d'optimiser le résultat des récoltes.

  Cela nécessite une visite régulière du conseiller, même si il ne se passe rien.

  Cela implique de construire des circuits de visite ou tournées pour maintenir les relations, parer aux aléas.

  C'est aussi construire un partenariat avec l'agriculteur pour optimiser sa rentabilité, trouver des débouchés pour

 des récoltes qui on acquis une meilleure qualité et les rentabiliser sur des marchés demandeurs de cette qualité.

  Il ne sert à rien de faire des efforts pour améliorer l'alimentation si la qualité n'est pas reconnue comme telle par les

  coopératives, parce que les coopératives ne rachètent la récolte qu'au prix du marché boursier des produits industriels.

  Le partenariat devra comporter une clause de rémunération sur le gain supplémentaire obtenu.

 C'est seulement lorsqu'il y a la une forme de partage dans le travail commun que le sérieux est reconnu que la confiance peut être partagée !

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                                                                                                                                                     Dernière modification : 31 décembre 2020