Cycle lunaire

  

 

 

 

 

               La Viticulture

 

              L'art de Produire des Raisins, pour les Fruits ou pour obtenir du Vin

 

  De cette culture on peut définir plusieurs métiers :

 

  Le vigneron qui cultive et entretient la vigne.

.

  Le Viticulteur qui s'occupe de faire le vin.

 

  L'oenologue qui surveille et contrôle la production du

  Vin.

 

  Le sommelier qui conseille la correspondance entre

  les plats et les vins que l'on peut y associer.

 

  Chaque métier a sa spécificité dans les grands

  domaines, les petits propriétaires ont souvent plusieurs

  casquettes.

 

  Le cépage désigne la qualité d'origine de l'arbuste (Cep).

 

  Chaque type de cépage a une origine particulière,                  La rose devant un rang de vigne est le premier témoin

   il en existe près de 9 500 espèces.                                      qui permettra de s'apercevoir des états de Santé de la

   vigne.

 

  Une vigne qui a son sol à nu, surtout sous les ceps, est une vigne qui souffre !

 

  Le cep est un arbuste ligneux qui produit des lianes que l'on doit sectionner, pour limiter sa croissance.

  pour des facilité de culture et de récolte, selon la région et le type de cépage, la taille se produit à une

  hauteur définie, selon un écartement entre rang qui est codifié.

 

  Le Cru est une appellation spécifique de vinification d'un vin particulier, qui correspond à une classification

  de la qualité.

 

  Le millésime est la définition d'une année de récolte, portée sur la bouteille et qui sert de référence pour

  classifie les années dites bonnes ou moins bonnes pour la conservation ou la consommation.

 

  Le Terroir désigne la région de production il est organisé, codifié, pour que les parcelles aient une forme  

  d'unicité dans la façon d'obtenir un vin lié aux appellation d'origine contrôlées ou de terroir.

 

   TOUT part du sol,  Tout y revient !

 

  Toute plante, arbuste ou arbre, dépend du lieu où ils vit, sur son sol.

 

  On  a souvent planté des vignes un peu n'importe où, parce que cela pouvait rapporter plus qu'une autre

   culture.  (on dit souvent qu'un hectare de vigne de qualité moyenne vaut 10 hectares de maïs).

 

  Ce qui fait que dans un même terroir d'appellation (origine d'Anjou ou de Touraine) on a des sols qui ont des  

  compositions très différentes, des plaines argilo-calcaires, des coteaux calcaire, des versants, des plaines

  alluvionnaires, ...

 

  Ce qui est produit sur ces terrains donne des vins de nature très différents, avec des cépages semblables.

 

  Les vignerons connaissent leurs sols, pour autant, ils ont de grosses difficultés pour cultiver les sols :

 

  Labourages, buttage des sols pour protéger les ceps en hiver, décavaillonnage au printemps pour remettre

     le sol en ordre de marche  se fait selon la tradition des cultures.

 

      Ce brassage des sols favorise le lessivage et le déchaussement des vignes, on voit des pertes de sol

      pouvant aller jusqu'à 10 cm.

 

     La vie du sol, la conservation de l'humus, qu'est ce que cela devient ?

 

  A chaque printemps, elle est obligée de se reconstituer avec un nouveau travail du sol, l'apport de fumier,

   dans certains cas ou d'engrais chimique dans la majorité des cas, le tout enterré par labourage.

 

  Il est parfaitement démontré que les engrais chimiques dénaturent le sol, ils neutralisent le fonctionnement

  biologique du sol, empoisonne l'humus, ce qui supprime la résistance immunitaire naturelle du sol, la plante

   qui pousse dans un tel sol est dont d'autant plus fragilisée.

 

  D'où des fragilités accrues aux maladies, ce n'est pas pour rien que le Phylloxéra s'est développé en

   France,  vers 1863, il s'est répandu comme une traînée de poudre.

 

 

  La seule solution a constitué à replanter le vignoble européen, avec

  des porte-greffes importés des USA.

 

  Il y a des vignes qui ont résisté au phylloxéra et qui produisent encore, il aurait été opportun de mesurer

  l'activité réelle des sols, mais à  cette époque notre système d'investigation n'existait pas

 

  Le phylloxéra est une sorte de puceron provenant du sud est des USA, qui colonise le dessus des feuilles,

  ( des groupes de cloques). Cela inhibe la photosynthèse, ce qui conduit le vigne à se dévitaliser.

 

  L'acariose est une déformation de la feuille qui présente des boursouflures, elle est causée par un acarien.

 

  Le Botrytis ou pourriture grise qui s'attaque aux bourgeons et aux fleurs, les bourgeons se dévitalisent et

  les fleurs tombent avant que d'avoir été fécondées.

 

  La chlorose est la conséquence d'un déséquilibre nutritionnel du sol qui provoque le jaunissement de la

  feuille.

 

  La Cicadelle ou flavescence dorée est causée par un insecte dont la larve s'introduit dans la tige du plant

  pour sucer la sève ce qui provoque la rouille de la feuille en partant des nervures, puis le dessèchement

  complet des feuilles basses et enfin la  dévitalisation du plant.

 

  L'Esca est une maladie du bois de la vigne qui part de la feuille de la plante qui se couvre de rouille en

  pourtour, pour petit à petit, dévitaliser tout le plant de l'intérieur .

 

  Des champignons seraient à l'origine de cette maladie, favorisés par la taille de la vigne en période douce

  et pluvieuse.

 

  Le Mildiou est un champignon qui se fixe sous les feuilles provoquant des taches, soit noires, soit grises

  ou farineuses,.elle serait provoquée par une cochenille.

 

  L'oïdium, est un champignon qui rend la feuille farineuse, bloquant à terme la photosynthèse., le

  dessèchement des tiges.

 

  Sans oublier les vers de grappes, les  piqûres de guêpes, .etc.

 

    Nous l'affirmons, nous le confirmons, seule la plante malade appelle l'insecte.

 

  Si les insectes attaquent, si les maladies surviennent, ce n'est pas dû à la fatalité, ni à la pluie.

 

   Le Chercheur Universitaire Arden D. Andresen, a démontré que l'insecte se cale sur la fréquence émise

   par une plante malade, et se détourne de celle émise par une plante saine.

 

   La fréquence vibratoire des êtres vivants est émise par le fonctionnement interne de chaque être vivant,

   par l' énergie utilisée par les organes et en fonction des équilibres électroniques, minéraux et sensoriels.

   ce qui signifie que chaque être a sa propres fréquence.

 

   La plante est crée par le sol pour lui rapporter les minéraux qui lui sont nécessaires à son équilibre,

   elle est donc comme les sol, à sa création : déséquilibrée.

 

   Le sol crée aussi l'insecte qui correspond à ce déséquilibre, pour détruire  la plante, pour récupérer

   seulement les minéraux qu'il recherche, pas le déséquilibre de la plante.

 

  Quand on veut cultiver un plante, il faut d'abord apporter au sol ce qui lui manque pour le  re-équilibrer, de façon à faire

  en sorte que la plante puis pousser sans aucun problème, donc sans insecte pour l'attaquer

 

  Un sol déséquilibré est la cause principale de tous les aléas que rencontrent les agriculteurs, quelles que

  soient  les cultures qu'ils font.

 

  On a constaté que depuis la première guerre mondiale, qu'une directive nationale a incité les cultivateurs,

  les viticulteurs, les maraîchers, etc, à augmenter les doses de potasse et d'azote dans les surfaces cultivées

  avec un excès de Potasse, dans le rapport  Potassium/Magnésium (K/Mg) = 2 à 5). un rapport qui ne peut

  que faciliter l'emploi des engrais chimiques

  d u type N. P. K., avec toutes les conséquences que cela implique.

 

  Cette erreur agronomique majeure, dénoncée par Jean Boucher en 1954, a consisté de privilégier l'excès

  de potassium et de minimiser le rôle du magnésium !

                  Cela lui a valu d'être marginalisé, alors qu'il avait raison.

 

  Le véritable rapport entre le magnésium et le potassium a été démontré par les chercheurs du Collège de

  France, conduits par Pierre Delbet en 1925, il est de   Mg/K = 2,5 ou   MgO/K2O = 1 !

 

D'autre part, nous insistons lourdement sur le fait qu'il faut rétablir l'équilibre structurel de l'humus !

 

  Là encore, il a été démontré, par ces mêmes chercheurs, que l'équilibre structurel des sols nourriciers,

  complété par un apport de magnésium, est celui qui permet a une plante, quelle que soit sa nature, de se

  développer en harmonie avec sa nature, si en plus le pH est dans ses limites optimum.

 

  Ce qui n'a pas été bien fait dans la vigne, sera à rattraper dans le chai !

 

  C'est là que le viticulteur, l'oenologue, sont confrontés aux aléas le la chimie "réparatrice" !

 

   Si on aide la nature en copiant son fonctionnement, en lui apportant ce dont elle recherche pour s'équilibrer,

   alors tout devient si simple, qu'on aurait dû y penser avant !

 

   C'était sans doute ce qu'on aurait dû faire, si les lobbies des engrais et des pesticides, n'avaient pas tout organisé  

   pour qu'on ne puisse pas le faire.

 

               " On n'a rien fait quand on n'a pas tout bien fait " Epicure

 

 

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                                                                                                                                                     Dernière modification : 31 décembre 2020