Cycle lunaire

  

 

 

 

 

                         " CORVID "  19

 

   Une maladie virale (grippe) sur médiatisée pour provoquer la peur de Mourir

   et préparer la création d'un vaccin miraculeux (chimique ).

 

  Que ce soient les services de Santé, les "experts", les soignants, etc, leur formation est

  incomplète parce que là encore, des connaissances ont été confisquées, cachées, parce

  qu'elles 'opposent à la commercialisation des  substances chimiques et aux vaccins.

 

  Les mesures barrières, dans ces conditions, sont et resteront inadaptées, voir inefficaces.

 

    - l'air ne semble pas transmettre le virus, un masque en extérieur n'est pas utile.

 

   - les postillons émis par ceux qui toussent ou qui éternuent sont projetés à moins d'un

     mètre, la distance séparant deux individus à 1 m semble justifiée en intérieur.

 

   - la contamination par les postillons n'a pas été prouvée, sinon, depuis des décennies, on

     aurait des millions de morts, chaque année,  par la foule qui se presse dans les

     transports en commun, surtout aux heures de pointe. Dans les salles de spectacle, les

     stades, etc.  Personne ne sait si "l'autre" est malade ou pas !

 

  - le masque est certainement très utile dans les services hospitaliers, il ne garantit pas la protection

     contre les contaminations dans les lieux publics.

 

     Pire, il concentre l'air vicié que nous exhalons, que nos poumons rejettent, préparant ainsi le départ de

  

   maladies pour les personnes fragiles.

 

     C'est un outil de déshumanisation et de vexation traumatisant.

 

  - le confinement a été et est encore, contre productif, il a détruit les relations sociales et l'économie

 

  - Le lavage des mains est  et reste très utile pour se protéger et protéger les autres, sauf que le gel 

    alcolaurique détruit la protection cutanée et au bout de plusieurs lavages, ia peau peut devenir très  

    inflammable. Un savon à base de produit vaisselle au vinaigre ou au bicarbonate serait plus approprié et

    antivirus.

 

        On voudrait nous rendre malade qu'on ne s'y prendrait pas autrement !

 

                                  "la vérité est ailleurs"!

 

  La meilleure des protection est et restera celle du renforcement de notre système

  immunitaire et les meilleurs remèdes sont dans notre cuisine.

 

  Il est évident que ni les autorités médicales, ni les "experts" n'en n'on pas parlé , ils sont

  financés par les lobbies pharmaceutiques

 

 La Guerre du terrain biologique!

 

Nous sommes confrontés à une maladie qui ressemble à une grippe sévère parce que le virus qu’elle contient est particulièrement actif et dangereux pour les personnes qui sont déjà fragilisées.

 

Il faut rendre hommage aux personnels médicaux, quels que soient leur métier, ils ont le mérite de prendre des risques en accumulant les interventions, les soins, les gardes, ce qui les rend plus fragiles.

 

Ce qui me fait intervenir, c’est la phrase qui nous est répétée à longueur de journée, par les autorités politiques et médicales qui affirment être dépassées par l’ampleur de la contamination :

 

 « il n’y a pas de vaccin, ni de traitement (chimique), contre le Coronavirus dit : Corvid 19 »

 

 En temps que Bio-Electronicien, je constate que leurs affirmations ne sont pas en cohérence avec les faits et les

 applications scientifiques que j’utilise depuis près de vingt ans pour améliorer la qualité des aliments.

 

 Ce n’est pas non plus en se barricadant chez soi que l’on peut se battre contre un envahisseur inconnu qui peut agir en terrain conquis, parce que l’on ne veut pas accepter la réalité du « terrain biologique». Celui qui conditionne le fonctionnement vital.

 

 On ne peut pas accuser les praticiens médicaux de ne pas faire ce qu’il faut, ce qu’ils devraient faire ou auraient dû faire, parce que leur formation universitaire est incomplète. Il existe tout un pan de découvertes scientifiques qui ont été minorées, ringardisées, supprimées, parce qu’elles s’opposent aux énormes profits pharmaceutiques et phytosanitaires.

 

Je peux démontrer par ces connaissances qu’on ne peut plus affirmer qu’on ne peut rient faire, mais aussi que ce qui doit être fait parce que cela relève d’une volonté personnelle et collective allant jusqu’à braver les lobbies médicaux et pharmaceutiques.

 

 La notion de terrain biologique est l’œuvre du Biologique, Médecin, Pharmacien, toxicologue Antoine Béchamp qui (en 1860) étudiait les points d ’énergie, qui s’agitaient au microscope dans tous les sens, en observant un prélèvement sanguin. Il les a appelé les microzymas (petits ferments).

 

En constatant que les cellules sanguines se remplissaient d’éléments fixes jusqu’à ne plus êtres actives, il a compris que la maladie ne pouvait venir que de l’intérieur, parce les lymphocytes (globules blancs) ne parvenaient plus à les détruire en créant un terrain infectieux. Les lymphocytes sont les gendarmes du système immunitaire. Notre bon état de santé dépend de leur vitalité.

 

 Claude Bernard, Biologiste, professeur en Médecine, la référence internationale en conduite d’analyse scientitfique, qui suivait les travaux de son élève : Antoine Béchamp, avait affirmé :

 

     « Que nous importe le microbe, Seul l’état du Terrain Compte ! »

 

 On a préféré suivre un certain Louis Pasteur, Professeur de physique et de chimie, parce qu’il s’était introduit dans la cour impériale de Napoléon III, avait été adopté par l’Impératrice qui l’avait fait entrer à l’Académie des Sciences et de Médecine, à la commission de réception des communications scientifiques. C’est ainsi que Pasteur a pu agir pour s’approprier les découvertes de ses contemporains dont ceux de Béchamp, d’abord en les critiquant, puis en les déclarant siennes en les modifiant.

 

Des faits reconnus et dénoncés par nombre de chercheurs connus de cette époque. Le principe de la vaccination est une modification de la découverte de Jenner, à laquelle il a ajouté un puissant oxydant, sans le dire (procès de Pouilly Lefort sur la peste ovine en 1864) Sur cinq enfants atteints de la rage, un a survécu après avoir été vacciné, les médias ont considéré cela comme une réussite et cela à fait la gloire de Pasteur.

 

 Depuis, on se base sur les effets apparents d’une infection, on recherche le germe qui l’aurait provoqué, on l’identifie et on lui applique une solution oxydante pour tuer le germe et on tue aussi tous les autres éléments sains qui pourraient agir pour nous libérer du mal, si on les aidait.

 

 Tous les médicaments chimiques et les vaccins sont construits sur ce principe et la recherche médicale parce que cela rapporte énormément d’argent aux fabricants qui sont devenus des lobbies très puissants. Le Terrain Biologique La recherche médicale s’est dotée de matériels très performants et c’est très bien, mais on a oublié le principal : la notion du terrain reconnue par Claude Bernard et Antoine Béchamp. Le terrain est le support sur lequel une maladie, un germe, une bactérie, un virus peuvent se créer et évoluer pour développer une maladie, si le défenseur de ce terrain (le système immunitaire) devient inopérant.

 

 Ce qui signifie qu’une contagion, une épidémie, ne peuvent se développer que si les terrains des êtres vivants ont des similitudes proches (Alimentation, comportement, environnement, etc). C’est ce qui a prévalu pour les épidémies de Choléra, de peste ou de variole, etc, dans les siècles précédents. Des maladies qui peuvent réapparaître si les conditions de vie se détériorent.

 

Si aujourd’hui ces menaces sont écartées, on ne le doit pas aux vaccins, mais au fait qu’on ne boit plus l’eau croupie des étangs ou des rivières, là où l’on se débarrassait des déchets, de toutes les pourritures, y compris les excréments. L’eau potable, étant beaucoup moins polluée. Il faut aussi souligner que les conditions de vie, l’assainissement, l’hygiène se sont généralisées bien avant le développement des vaccins.

 

 Aujourd’hui, la grippe du « Corvid 19 » est dans la lignée des grippes précédentes avec à chaque fois un virus différent, pour lequel, aucun vaccin n’a vraiement pas d’action ciblée, et les soignants seront toujours aussi peu aptes à la traitée tant que la notion de terrain ne sera pas pris en compte.

 

La réalité du terrain a été démontrée dès 1935 par L’Ingénieur Hydrologue Louis Claude Vincent qui oeuvrait pour améliorer la qualité des eaux d’épuration avec des médecins et des biologistes.

 

 L. C. Vincent a créé la Science de Bio-Electronique, qui est la seule science qui permet de comprendre et de définir le fonctionnement de la vie. Une Science qu’il a développée avec la Doctoresse en Pharmacie Jeanne Rousseau dès 1960. Une science qui a été adoptée par les 200 Médecins Hématologues réunis en congrès international à Baden Baden en1972 et qui ont créé la S I B E V (Société Internationale de Bio-Electronique Vincent).

 

 Cette science permet de révéler l’état du terrain sur lequel la vie se développe, en fonction du mode de vie et d’alimentation des êtres vivants, avec des appareils présents dans tous les laboratoires de biologie et disponibles sur internet. On effectue trois mesures en plongeant les électrodes des appareils dans une solution aqueuse (Salive, sang, urine, sève des plantes ou jus d’humus). Ces mesures sont :

 

 - le potentiel Hydrogène (pH) : la quantité d’énergie magnétique émise par les protons, ce qui définit le caractère

   de la solution : Acide (Maxi H+ ) ou alcalin (Maxi OH- ).

 

 - le potentiel REDOX (E) : la quantité d’énergie électrique produite par les électrons, ce qui définit le caractère

   « Réduit » (manque d’électrons) ou "Oxydé" (excès d’électrons), dans la solution (maxi H² = Réduit <==>

    maxi O² = Oxydé). Mesuré en millivolt (mV).

 

 - la Conductivité qui mesure le niveau de propagation du courant électrique dans la solution, elle est directement

   liée à la concentration minérale et aux quantités de matières organiques. Mesuré en milliSiemens (mS) ou

   en MicroSiémens (μS), selon le type de matériel utilsé.

 

A partir de ces trois mesures le Chimiste et mathématicien Walter Nernst, (prix Nobel de Physique en 1920) a créé en 1903 les formules qui permettent de calculer les valeurs suivantes .

 

 - le Rapport Hydrogène (rH²) ou quantité d’énergie

   électrique émise pour chaque valeur de pH

   Mesuré en millivolt (mV).

 

 - la Résistivité (R) qui est l’inverse de la conductivité,

   la résistance à la diffusion du courant électrique,

   la diffusion des germes, calculé en ohm / mm3.

 

 - le potentiel Energétique (W) qui représente le niveau

   d’énergie que l’élément peut contenir, utiliser ou

   transmettre calculé en microwatt (μW).

 

Walter Nernst a créé un graphique qui définit la relation

entre le pH (0 à 14) et le rH² (0 à 42). Il a établi que le

rapport Hydrogène (rH²) ne peut contenir que 42 millions

d’électrons par valeur de pH.

 

En 1930, Louis Claude Vincent a repris le graphique

poul’adapter au fonctionnement vital, ce qui permet de révéler l’activité des terrains de la vie.

 

On remarquera que ce graphique colle parfaitement aux

notions que nous ont transmis les grecs et les romains.

 

Au dessus de rH² 21 le terrain est oxydé et en dessous

de 21 le terrain est réduit.

BS =  Terrain de Bonne Santé

 

Dans le Terrain n°1 : Alcalin et Réduit,                 

la vie se crée dans l'eau

 

Dans le terrain n°2 : Acide et Oxydé,

 les maladies qui se développent sont liées

 à l’air. 

 

Dans le terrain n°3 : Alcalin et Oxydé, 

 les maladies qui se développent sont liées

 à la température chaude du corps humain.

 

Dans le terrain n° 4 : Alcalin et réduit,

 les maladies qui s'y développent sont liées

 au conditions aux pollutions, à la putréfaction,

 

Pour montrer qu'il a une réelle relation entre le fait

d'absorber un aliment qui ne serait pas sain, peut

conduire à "attraper" la maladie qui serait liée au mauvais terrain de ce aliment, on a superposé le graphique des

eaux avec celui des maladies.

 

Les terrains électroniques se collent parfaitement sur les

terrains biologiques, confirmant les découvertes d'Antoine

Béchamp : seul un terrain malade (la cause) peut produire la maladie qui y correspond (l'effet).

 

Tant que la cause qui a produit la maladie n'aura pas été traitée, la maladie se développera et si la santé est provisoirement retrouvée, la cause qui n'a pas été traitée

reproduira la maladie.

 

 Après plus de 20 ans de recherches sur le fonctionnement du vivant et par des milliers d’analyses de Bio-Electronique, effectuées dans l’eau, les plantes et les sols, ma conviction n’a fait que de se renforcer : cela fonctionne parfaitement, il y a une réelle correspondance entre les mesures effectués et l’état du terrain qu’elles révèlent.

 

On comprend mieux le rôle accélérateur que les eaux croupies ont joué lors des épidémies dévastatrices des siècles antérieurs. (Choléra, Diphtérie, Lèpre, variole, etc).

 

La même constatation peut être faite pour l’activation et la contamination des maladies modernes par une eau javellisée, polluée par les intrants agricoles. Une activation renforcée lors des canicules par l‘augmentation de la température caniculaire qui augmente la consommation des eaux trop minéralisées, javellisées (alcalines), ce qui a causé l’augmentation des décès dans les maisons de retraite.

 

Ce qui joue aussi un rôle déterminant dans l’épidémie grippale actuelle c’est l’empoisonnement de l’alimentation par les pesticides de i’agriculture industrielle et les additifs dénaturés de l’industrie alimentaire. Sans oublier le rôle majeur que la pollution électromagnétique fait courir aux êtres vivants pour altérer leur Santé..

 

Sans ces mesures, l’agriculteur, le jardinier, le conseiller agricole (quels que soient leurs diplômes) sont aveugles. Pire, leur formation est incomplète parce que les notions essentielles sur l’équilibre des éléments du sol ne font plus partie de leur enseignement.

 

Depuis plus d’un siècle et les analyses qui sont faites par les laboratoires agréés sont inadaptées. Dès 1918, par la nationalisation des potasses d’Alsace, l’Etat français en faisant modifier les analyses, par l’introduction des

 « limons », a forcé les agriculteurs à abuser l’emploi de la potasse au détriment du magnésium, ce que Jean Boucher, Ingénieur Agronome, Docteur es Sciences, l’un des fondateurs de l’agriculture biologique française n’a cessé de dénoncer.

 

Depuis nous sommes tous en carence de magnésium, l’un des principaux agents de rétablissement de notre système immunitaire, un fait démontré en 1924, par Pierre Delbet, Chirurgien, Académicien.

 

Depuis Janvier 2020, nous sommes confronté à des mesures sans précédentes pour empêcher la propagation d’un virus particulièrement dangereux, par un confinement de la population, avec des règles d’hygiène strictes, alors que et les services de Santé, l’Etat, sembles démunis pour limiter les contaminations.

 

Les autorités politiques et médicales affirment en permanence etavec  insistance:

  « il n’y a toujours pas de vaccin, ni de traitement, contre le Coronavirus dit : Corvid 19 »

 

À part des précautions contre toute infection (masques, gants, lavage des mains, etc),surtout utiles au personnel soignant, « Des recherches sont en cours par les laboratoires pour préparer un traitement chimique.

 

 Aucun thérapeute officiel, du simple médecin au ministère de la Santé, n’a proposé de renforcer les défenses immunitaires que chaque individu est sensé détenir, comme si ils n’en avaient pas. Pourtant, les journaux, la radio, la Télé, les revues spécialisées, font des reportages où l’on souligne l’importance du système immunitaire et ils ont tous des publicités qui vantent les mérites que certains produits ont pour aider notre système à mieux nous protéger.

 

La tradition populaire a aussi ses remèdes, ses potions : un bon sens bien de chez nous : « Contre les infections les remèdes ne sont pas dans votre armoire à pharmacie, mais dans votre cuisine » Il est reconnu, depuis des millénaires, que nos épices, nos fruits, nos légumes, ont des vertus thérapeutiques reconnues, propres à chaque région ou pays, que nos anciens ont utilisé, avec des résultats bénéfiques.

 

 Dans le cas de cette infection grippale qui réduit la capacité respiratoire de nos poumons par la stérilisation des muqueuses qui filtrent l’air. Le stade de l’infection développée se signale par une gène respiratoire accompagnée d’une toux sèche (qui ne peut évacuer l’infection) et d’un accès de fièvre (le système immunitaire combat l’infection).

 

. Il est évident que ceux qui sont déjà en état de gène respiratoire, avec un organisme déjà infecté par une autre maladie, en état de fatigue intellectuelle ou physique importante, vont être plus fragiles, réceptifs, avec des conséquences parfois dramatiques.

 

Seuls les anti-virus ayant des coordonnées acides

et réduites auront une action salutaire. Tout comme

le sont les aliments produits biologiquement et qui

ont par tradition des vertus vérucides reconnues,

comme le sont l’ail, le vinaigre de cidre, le miel, le

chlorure de magnésium, l’extrait de pépin de

pamplemousse, le romarin, le thym, etc.

 

Comme la contagion se fait principalement par la

voie aérienne, une inhalation de l’un ou de l’autre

 peuvent avoir une action préventive et réparatrice

salutaire. Un gargarisme c’est encore mieux.

 

L’inhalation comme système de soin est une

méthode thérapeutique connue depuis longtemps

puisque le docteur Jean Valnet a mis au point les

huiles essentielles, des concentrés tirés des plantes.

Elles sont en bonne place dans toutes les pharmacies.

 

Maurice Mességué, Herboriste, Radiesthésiste, auteur de plusieurs livres sur les recettes à base de plantes qu’il conseillait à ses clients.

 

Ayant le succès lié aux bons résultats,, il a souvent été poursuivi en justice par l’Ordre des Médecins qui

l’accusait de concurrence déloyale, d’exercice illégal

de la médecine, il avait cette phrase :

 

« Avec mes plantes, je n’ai jamais tué personne !  On ne peut pas en dire autant de vos médicaments »

 

 Exemple : une solution d’un verre d’eau tiède, la moins minérale, contenant une cuillère à soupe de vinaigre de cidre et une gousse d’ail scarifiée multipliera les effets par l’inhalation. Consommer régulièrement, une gousse d’ail par jour et utiliser le vinaigre de cidre pour la salade est une action préventive qu’aucun praticien n’a proposé.

 

L'année prochaine, on recommence ?

 

 

                                                                                            Page non contractuelle

____________________________________________________________________________________________________

 

                                                                                      Association PANSERNATURE

                                                                                                             Loi 1901  N° : W37 200 4440           

                                                                                                          Webmaster : contact@pansernature.org
 

                                                                                                                                                     Dernière modification : 31 décembre 2020