Cycle lunaire

  

 

 

 

Sauver les acquis du Bio Infos classées :

 

   Sauver les Acquis du Système Biologique

 

     07 10 2006 : Nous sommes intervenu et avons soutenu :

 

          - Pour L'association Kokopelli et sa condamnation judiciaire par les Semenciers !

 

          - Contre L'intervention de l'Etat qui ont "récupé" les outils de travail d'enseignement 

                  Bio  d' Eric Petiot.

 

          - le Jugement qui a condamné le producteur de la prêle des champs de façon bio.

 

        En signant des pétitions sur les blogs, les sites en lignes.

 

                              En intervenant directement sur les blog "Environnement de FR 3" La 1, la  5 :

 

        En envoyant des lettres de protestations auprès des élus ou des journaux, ...

 

       La liberté du citoyen est un droit constitutionnel imprescriptible.

 

« Elle ne s’arrête pas où celle des autres commence, mais elle doit être également(répartie) respectée

    par tous,  pour que tous les individus puissent en jouir. »

 

  Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles  de

  l’homme, (de la femme et de l’enfant) :

 

  Ces droits sont la Liberté, la Propriété, la Sûreté et la Résistance à l’oppression.

 

  La liberté consiste à faire ce qui ne nuit pas à autrui ! 

 

  Les représentants du peuple français doivent considérer (se rappeler) que l’ignorance, l’oubli ou le

  mépris des droits de l’homme et du citoyen, sont les seules causes des malheurs publics et de la

  corruption, !

 

  La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux

  de L’homme.

 

 Tout citoyen peut donc parler, écrire imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté. »

 

      Le Libéralisme n’a rien à voir avec la déclaration des droits de l’homme !

 

   C’est la négation de la liberté par la mainmise, l’accaparement, le despotisme et la tyrannie de tout ce qui

    appartient aux peuples et aux nations, par la corruption, l’empoisonnement, la déchéance des populations ainsi

    asservies

 

    C’est seulement la libre circulation de l’argent, aux seuls profits des financiers, ceux qui les obtiennent, qui

    en profitent, ce sont les propriétaires, les commanditaires des sociétés multinationales, des industries

    chimiques, pétrolières, agroalimentaires, pharmaceutiques et phytosanitaires,…

 

    Ces prédateurs n’ont de cesse que de détruire tout ce qui est d’origine naturelle pour le remplacer par des

    produits chimiques de synthèses, des poisons certifiés consommables, parce que cela génèrent plus de profits

    immédiats.

 

    Ce sont des gens sans foi ni loi, prêts à toute les compromissions, tous les crimes, pourvu que cela leur r

    apporte un gain rapide et incontrôlé, même au péril de leur propre avenir.

 

    Que des élus politiques, de par les hautes fonctions qu’ils occupent, s’arrogent le droit de promulguer des

    oukases, des décrets, qui privent les citoyens de leur droits les plus élémentaires, ceux de jouir des bienfaits de

    la Nature, pour se plier aux dictats des prédateurs de la nature, devraient être considéré comme des renégats,

    ceux qui renient le vote de ceux qui les ont élus.

 

    Le décret de Juillet 2006, stipule qu’il est interdit, entre autres de :

      ( sous peine d’emprisonnement et de très fortes amendes injustifiées)

 

- Faire la promotion d’aliments naturellement produits, suivant le mode biologique, par ceux qui les

  obtiennent et d’en vanter la qualité…

 

- Conseiller les utilisateurs sur la façon de les préparer pour qu’ils améliorent la qualité des

   futurs aliments par le travail du sol.

 

    

                  - Vendre des plantes naturelles ramassées ou cultivées…( prêle, ortie,…)

 

        En un mot tout ce qui peu ou pourrait nuire au commerce des poisons officiels, aux lobbies des officines,

        à la diffusion des aliments dénaturés dans les grandes surfaces et les fastfoods !

 

La réponse est claire, c’est un devoir de civisme constitutionnel !

 

Il faut organiser la désobéissance civile face au dirigisme sectaire des semenciers et de leurs commis :

 

            - S’opposer à l’oppression : Un décret sauvage, publié en catimini, n’est pas une obligation si il s’oppose

              aux droits constitutionnels, aux libertés individuelles, à la tradition séculaire de nos ancêtres.

 

                        - Cultiver les céréales, les légumes, c’est reproduire les plantes qui étaient naturelles à leur origine,

              récolter les fruits, dans les vergers ou dans la nature, est une liberté qui ne peut être conditionnée à la

              volonté du libéralisme sauvage.

                                                 ( Hippocrate : Que ton aliment soit ton meilleur médicament !)

 

Depuis la nuit des temps, la tradition, les us et coutumes, ont attribué aux plantes, aux céréales, aux

légumes, des vertus médicinales reconnues pour leur efficacité, ce que la Médecine, ou la Pharmacie, n’ont jamais contesté.

 

  (Faudra-t-il aussi interdire la culture des céréales, des fruits ou des légumes parce qu’ils ont ou

   auraient des vertus nutritives saines ou médicinales ?) 

 

Ils ne peuvent avoir d’un côté le monopole de la prescription ou de la vente des simples et d’un autre côté privilégier le seul  commerce des drogues et poisons, d’autant que les molécules extraites des plantes,

du fait  de leur mode d’extraction, n’ont plus les ferments qui permettent leur assimilation naturelle, ce qui n’est pas sans conséquences pour la santé.

 

Bien des spécialités sont mises en vente sans que les procédures de vérification de leur efficacité ou de leur innocuité, n’ait été réellement conduites et contrôlées. Des procès ont lieu chaque année.

 

Bien des « accidents » se traduisent par des traumatismes, des infirmités ou des décès constatés.

 

La représentation ou le commerce de ces poisons n’ont jamais été inquiétés, pourtant il sont complices de fait. (Hyppocrate : D’abord ne pas nuire !)

 

De plus, le mode de culture biologique est le seul, qui respecte la vie des sols, qui protège la qualité sanitaire des récoltes, n’utilisant ni engrais chimique, ni pesticide…, ce que ne peut obtenir un mode de production industriel, dans leurs serres ou dans leurs champs.

 

              C’est bien un devoir de civisme que de luter contre l’embrigadement, le contingentement, le dirigisme

              sectaire de ceux qui prétendent réduire la liberté d’opinion, de parole, d’écrire, d’imprimer ou de cultiver,

              surtout quand cela vient de personnes soumises aux prédateurs de la Nature.

 

    Nous savons trop ce que nos parents ont dû subir sous le joug des séides hitlériens.

 

     La Terre ne nous appartient pas, elle nous a seulement été prêtée par nos enfants !

 

     La Nature est ce que nous avons de plus précieux, elle n’est disponible que pour ceux qui la respectent,

     elle ne peut être privatisée, elle sera notre refuge, comme elle l’a été pour nos pères quand ils ont dû 

     s’opposer aux oppressions barbares.

 

     A moins que d’ici-là, ces inconscients auront d’eux même détruit leur infâme copie.

 

     Le danger est aussi d’élire ceux qui se disent être des sauveurs intègres et qui par leur actes nuisent aux  

     droits naturels et aux libertés essentielles, on en a l'exemple avec un président complice des pouvoirs internationaux.

 

     La Nature appartient à tous ceux qui la respectent et qui se font un devoir par leurs actes de la préserver,

 

    Le mode de culture biologique est un bienfait qui ne peut se plier qu’aux lois de la Nature, à condition qu'il respecte

    la loi des équilibres naturels.

 

     C’est mon opinion et j’ai le droit de l’exprimer librement.

 

            Michel  PROVOST

 

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                                                                                                                                                     Dernière modification : 31 décembre 2020